Monsieur Thomas ANDRIEU, Directeur des Affaires Civiles et du Sceau,
Je tiens à vous le redire, nous sommes ravis que vous soyez là, vous !
Je ne vous cache pas que je me suis imaginée que Mme la Ministre de la Justice avait certainement un emploi du temps terriblement chargé, de Ministre…, lorsque nous avons appris qu’elle ne serait malheureusement pas des nôtres ce matin, alors que pour une fois nous n’étions pas si loin de la place Vendôme…
Je me suis donc amusée à aller jeter un œil à l’agenda prévisionnel de Mme la Ministre.
Je le reçois toutes les semaines.
J’étais curieuse de savoir ce qu’il avait de bien plus important, plus pressant, plus urgent, à faire que d’écouter les élucubrations de jeunes avocats qui de toutes façons sont toujours contre tout !
Et bien…
Rien…
Rien de rien...
Il n’y avait absolument rien de prévu à l’agenda de Madame la Ministre après le conseil des Ministres de la veille.
Madame la Ministre fait le pont.
C’est son droit le plus strict.
Elle passe peut être le WE de l’ascension à la Guadeloupe qui sait...
C’est bête, à une année près, nous aurions pu nous croiser. Tant pis...
Mais encore une fois, Monsieur le Directeur des Affaires Civiles et du Sceau nous sommes très, très, heureux de vous compter parmi nous ! Vraiment,
Madame Olivia POLSKI, adjointe à la Maire de Paris, notamment en charge des professions libérales et des indépendants.
Nous sommes ravis d’être à Paris pour notre 76ème congrès. Merci à la ville de Paris pour son accueil,
Madame Christiane FERAL SCHUHL, Dynamique Présidente du Conseil National des Barreaux, qui a mille idées à la minute ! Merci de votre présence,
Madame la Bâtonnière de Paris, Chère Marie-Aimée,
Ta présence ce matin me fait extrêmement plaisir. Nous avons mené de nombreuses batailles communes. Je te considère comme une amie,
Monsieur Jérôme GAVAUDAN, Président de la Conférence des Bâtonniers,
Nous avons mené un peu moins de batailles communes mais quelques-unes tout de même.
Votre présence me fait également très plaisir,
Je salue également la présence de Madame la Bâtonnière Hélène FONTAINE, candidate à la première Vice-Présidence de la Conférence des Bâtonniers,
Monsieur Michel LERNOUT, Premier Avocat Général de la Cour d’appel de Paris,
Je suis honorée de la présence à notre congrès d’un représentant de l’institution judiciaire. Elle prend une résonnance particulière dans un contexte tout aussi particulier. Et elle est appréciée,
Madame Viviane Schmitzberger, Présidente de la Caisse Nationale des Barreaux Français,
Je suis heureuse que vous soyez présente parmi nous, la retraite est un sujet qui intéresse beaucoup les jeunes.
Et comme vous avez pu le remarquer, nous aimons beaucoup communiquer sur le sujet !
Monsieur Michel PICON, Président de l’UNAPL, organisation dont est membre la FNUJA. Merci d’être là et d’exprimer ainsi votre soutien à une organisation membre de l’UNAPL,
Madame Laurence ROQUES, Présidente du SAF,
Nos organisations font souvent front commun ensemble,
Madame Anne-Sophie BERNACHOT, Présidente de l’Association des Jeunes Magistrats, partenaire de longue date de la FNUJA,
Monsieur Guillaume GREZE, Président du SAF Paris
Monsieur Frédéric PERRIN, Président de l’UJA de Paris, mon UJA d’origine,
Monsieur Daniel NGOS, Président de la FAUJA, avec laquelle la FNUJA entretien des liens privilégiés depuis plusieurs années maintenant,
Madame Joyce HERRENT, Représentante de L’European Young Bar Association, dont est membre la FNUJA,
Monsieur Eugene PANINE, Président du Jeune Barreau Russe,
Vous venez de loin pour échanger avec nous et votre présence nous touche énormément,
Madame Delphine JAAFAR, Représentante de la CIB,
Monsieur Alain Chalut, Directeur Général de la SCB,
Madame Karima BENSAID, Présidente de KERIALIS,
Monsieur Thierry Blaise, Directeur de l’ENADEP et de FIDES,
Nos partenariats sont très utiles pour mener à bien nos missions.
Mesdames Messieurs les Bâtonniers,
Mesdames, Messieurs les membres du Conseil National des Barreaux,
Mesdames Messieurs les Présidents et membres d’honneur de la FNUJA,
Mesdames Messieurs les Présidents des unions de jeunes avocats,
Mesdames et Messieurs des délégations étrangères,
Distingués invités, en vos divers grades et qualités,
Mon très cher père, (Papa), mes sœurs et frère,
Votre présence me touche singulièrement, Je suis heureuse et fière que la profession toute entière puisse mieux entrevoir, à travers vous, d’où je viens, de qui je descends et à qui j’essaie de ressembler, qu’elle voit l’équipe de « guerriers » à laquelle j’appartiens. Merci d’être là. Je sais que c’est essentiellement pour me faire plaisir.
Mes Chers Confrères,
Chers Amis,
« Le 76ème congrès de la FNUJA à Paris est officiellement ouvert ! »
Cela fait tout drôle d’être ici et de prendre la parole devant une aussi belle assistance, devant mon père en particulier,
et devant mes UJA si dynamiques, forces vives de notre belle fédération.
Les premiers mots que je voudrais vous adresser ce sont des mots de remerciements à nos UJA.
Je voudrais vous remercier chaleureusement car vous avez porté haut et fort le bureau durant tout le mandat écoulé.
Vous avez été mobilisés à chaque instant, sur tous les fronts, sur toutes les manifestations…
Et elles ont été nombreuses cette année !
J’espérais au début de mon mandat avoir au moins une petite « manif’ » dans l’année.
Avec le PJL Justice, j’aurai été servie au-delà de mes espérances...
En tous les cas, même épuisés, vous n’avez rien lâché, vous avez été présents tout le temps, sur tout le territoire national.
Si nous ne sommes pas opposés à un peu de modernité dans le fonctionnement de la justice, nous n’avons pas obtenu tout ce que nous attendions de cette réforme en termes de justice accessible et de qualité.
Mais au moins nous n’avons pas laissé faire sans rien dire.
Et je ne doute pas un seul instant que mes successeurs prendront la relève sur les sujets comme la justice des mineurs, la spécialisation des juridictions et les décrets d’application du PJL Justice qui se profilent.
Je voudrais remercier chaleureusement l’UJA de Paris, mon UJA, pour avoir eu la folie d’accepter de recevoir à Paris le congrès de la FNUJA.
Merci du fond du cœur. Je sais que j’ai « un peu » insisté pour susciter votre vocation. Je sais que c’est aussi beaucoup de travail, d’autant plus que l’UJA organise sa revue, la semaine suivante... Je vous invite d’ailleurs tous à y vous y rendre !
Je voudrais remercier les UJA de Montpellier, de Grenoble et de Lyon pour nous avoir reçus royalement lors d’incroyables comités décentralisés. Merci beaucoup de vous être pliés en quatre pour nous recevoir ! Cela faisait chaud au cœur.
Je crois qu’on peut applaudir ces quatre UJA et leurs présidents respectifs !
Mes chers amis,
Cela me fait tout drôle d’être ici devant vous ici car la dernière fois que j’ai pris la parole en public dans cette salle de la première chambre de la Cour d’appel de Paris, c’était il y a un peu moins de 10 ans, lorsque j’ai prononcé les mots « Je le jure », en prêtant notre si beau serment, embrassant ainsi nos principes essentiels, socle de notre déontologie.
Je suis très heureuse de revenir ici, en ces lieux où je suis née comme avocate, et de vous dire que grâce à l’action persévérante de la FNUJA, le socle de notre déontologie est un peu plus beau, un peu plus fort, un peu plus puissant car il compte désormais expressément un nouveau principe essentiel,
et pas des moindres,
le principe d’égalité et de non-discrimination !
Nous pouvons être extrêmement fiers car cela n’arrive pas tous les jours d’écrire un principe essentiel dans le Règlement Intérieur National (RIN),
Peut-être une fois tous les 80 ans m’a t’on fait remarquer il y a quelques jours,
Et nous, les jeunes avocats, cette année, nous l’avons fait !
Nous avons inscrit un principe essentiel dans le RIN !
Ce n’était pas une mince affaire, le chemin fut long et tortueux. Le Président de la Conférence des Bâtonniers pourrait en témoigner, la Présidente du CNB aussi.
Je ne sais pas si cela aurait été possible, si n’avions pas eu deux femmes parmi ce « monstre à trois tête » qui gouverne, comme il le peut, notre profession, dans une relative unité.
Pourvu qu’elle dure !
Je suis très heureuse du mouvement qu’il y a en ce moment dans la profession,
y compris à la conférence des Bâtonniers, il faut bien le reconnaître, vers un peu plus d’égalité.
L’an dernier, partageant cette ambition, je m’étais engagée dans mon discours à créer une caravane de l’égalité, formation itinérante à l’égalité conçue par les jeunes avocats pour les avocats. La première édition a vu le jour hier !
A 3 jours de la fin de mon mandat. C’était moins une !
Mais vous le saviez déjà, si j’ai toujours eu une gestion un peu « compliqué » du temps,
si je suis toujours un peu en retard, je m’efforce toutefois toujours de tenir mes engagements.
Mes chers amis,
Je vous le disait il y a quelques instants, je suis heureuse d’être ici, dans cette si belle salle de la Première chambre de la cour d’appel, dans notre ancien Palais de justice dont je suis si nostalgique.
Je tiens à remercier chaleureusement la première présidence de la Cour d’appel d’avoir bien voulu nous laisser organiser notre séance d’ouverture solennelle, grâce au coup de pouce de Madame la Bâtonnière de Paris.
Merci également d’être venu nous voir Monsieur le premier avocat général.
Notre présence ici prend une résonnance toute singulière et est particulièrement appréciée au lendemain de l’expulsion manu militari,
il y a quelques jours seulement,
de l’une de nos consœurs d’une salle d’audience,
par des policiers,
à la demande d’une magistrat…
Bien évidemment, les jeunes avocats ont dénoncé fermement ce comportement absolument inacceptable, indigne d’un magistrat.
Nous avons exprimé le souhait que le Conseil Supérieur de la Magistrature soit saisi et prenne les décisions qui s’imposent.
Nous avons bien évidemment participé à la manifestation qui a eu lieu la semaine dernière au Tribunal de Paris pour soutenir notre malheureuse consœur et pour dénoncer fermement les agissements violents dont elle a été victime.
Nous nous félicitons du communiqué commun pris à la suite de cette manifestation par le Président du TGI et par Mme la Bâtonnière de Paris, communiqué ayant rappelé les règles élémentaires de bonne intelligence qui doivent gouverner les relations entre avocats et magistrats en cas d’incident.
Nous ne sommes pas, avocats et magistrats, les ennemis les uns des autres.
Nous méritons, nous avocats, et les magistrats également, dans l’intérêt de la justice et des justiciables, tout simplement le respect !
C’est la raison pour laquelle la FNUJA a toujours milité et pris des motions de congrès pour que avocats et magistrats travaillent ensemble en bonne intelligence.
Et c’est la raison pour laquelle, la FNUJA a développé des partenariats avec l’association des jeunes magistrats.
C’est également la raison pour laquelle nous souhaitons que voit le jour le Conseil consultatif conjoint de déontologie de la relation avocats-magistrats actuellement en cours de discussions par nos instances représentatives respectives.
Je ne cesse ce matin de vous dire que je suis heureuse,
mais à l’heure ou sonne le glas de mon mandat, je dois bien vous avouer que je suis un tout petit peu triste quand même.
Je n’ai pas envie de vous quitter mon cher bureau, mes UJA,
Mais en même temps
Je suis impatiente de voir la prochaine équipe à l’œuvre. Je sais qu’elle me rendra fière.
Et ce moment, qui est censé être une sorte d’éloge funèbre de mon mandat, prononcé par moi-même, ce qui est un peu troublant,
Je ne tiens pas faire la toute la liste à la Prévert de mon bilan.
La bonne nouvelle c’est que mon discours n’en sera que d’autant plus court !
(Mais ne vous rejouissez pas trop vite, il y a encore une intervention après la mienne et nous ne sommes pas à l’abri que le prochain orateur soit bien plus bavard que moi !)
Je ne veux pas faire de bilan mais tout de même… peut-être évoquer quelques perspectives, ou espoirs à tout le moins.
Les jeunes avocats ont toujours milité pour un CNB fort, dont le/la Président.e serait élu.e suffrage universel, et dans cette perspective je rêve d’un CNB qui coexiste avec des ordres sans que ni l’un ni les autres ne se sentent en concurrence.
Nous considérons que le CNB, organe représentatif de la profession, a vocation à s’occuper de tous les sujets qui l’intéressent, y compris les protocoles en matière d’aide juridictionnelle. Sujet qui avant d’intéresser le CNB, les Ordres et les Bâtonniers, de Paris, comme de Province, intéressent les avocats qui assument ces missions et ils sont nombreux parmi les rangs des jeunes avocats.
Autre sujet sur lequel nous souhaitons une unité plus prononcée ce sont les services informatiques rendus à la profession. J’espère qu’elle sera de mise pour que le CNB puisse mener à bien le plan numérique de la profession que nous avons tous approuvé, sans qu’aucune concurrence malvenue ne puisse l’entraver.
J’espère aussi que les avocats demain investirons les territoires, le numérique, les entreprises pour y développer plus encore le réflexe avocat.
J’ai toujours considéré les avocats comme un rempart des libertés et cela ne va pas sans risques parfois, ailleurs dans le monde et je me réjouis de l’adhésion de la FNUJA à l’Observatoire International des Avocats en Danger (OIAD).
Je vous le disais je ne veux pas m’étendre sur un bilan. Je veux surtout remercier les personnes que j’ai croisé à la FNUJA et l’UJA de Paris.
Je voudrais remercier nos élus au CNB : Matthieu Dulucq, Sandrine Vara, Thomas Charat, Anne-Lise Lebreton, Anne Krummel, Vincent Penard, Delphine Binet, Arnaud Adélise, Marie-Hélène Fabiani, Jean-Laurent Bourel, mais aussi Stéphane Lallemant, Camille Maury et Richard Sédillot pour leur engagement formidable pour les jeunes avocats et la profession toute entière.
Je suis heureuse de pouvoir continuer à porter la vision des jeunes avocats à vos côtés après ma présidence.
Je voudrais remercier nos élus délégués à la CNBF qui font un travail remarquable notamment pour préserver notre régime de base face au projet de régime de retraite universel.
Merci Ange-Aurore Hugon-Vives, Catheline Modat, Leila Hamzaoui, Olivier Charles, Sonia Ouled Cheick, Lucie Teynie, Jean-Raphael Fernandez, David Tramier, Laurence Boyer, Loic Dusseau, Christophe Thevenet, Marion Couffignal, pour le travail que vous faites.
Merci aux présidents d’UJA et à vos équipes pour vos contributions qui portent la fédération.
Merci à mes présidents de commission pour le travail colossal accompli cette année.
Avec un e mention spécial à Sonia Ouled Cheick, Co-Présidente de la commission pénale qui a été énormément sollicitée et qui continue de l’être.
Je voudrais remercier mes belles-mères, les présidents d’honneurs, grâce à vous, à cette lignée de présidents, à vos précieux conseils, j’ai été plus solide que jamais pendant mon mandat. Je ne peux vous citer tous mais merci de votre soutien et de votre présence.
Merci Alex, ma présidente, d’être venue à tous mes comités décentralisés.
Merci aux membres d’honneurs, ceux qui le sont et ceux qui auraient dû l’être, à ceux qui le seront certainement, dans un avenir plus ou moins proche.
Merci aux vétérans. J’arrive très bientôt !
Je voudrais remercier Marie-Aimée également, ma Bâtonnière,
Tu as remarqué. Il n’y a pas si longtemps, je t’appelais Madame le batonnier, et j’ai décidé de t’appeler Mme la Bâtonnière. Alors on dit que c’est laid, on le prononce avec un accent trainant pour la faire résonner comme bétonnière, poissonnière...
Mais objectivement. Ce n’est pas un mot qui est laid. Conseiller, conseillère. Ce n’est pas laid. Ce n’est pas sale.
Et je veux mener la bataille de la féminisation des fonctions, des métiers socialement valorisés. Désolée que tu en fasses les frais…
J’aimerais remercier toutes les personnes que j’ai remercié dans mes précédents discours. Je suis désolée de ne pas vous citer tous aujourd’hui, vous le mériteriez mais ce j’ai dit de vous il y a un ou deux ans, à Bayonne, à Bastia, je le pense encore aujourd’hui.
Vous vous reconnaitrez.
Merci à mon UJA, à l’UJA de Paris, son Président Frédéric, à mes belles mères parisiennes desquels j’ai tellement appris. Merci à toute l’équipe d’organisation du congrès. Je suis très enthousiaste sur la suite du programme de congrès !
Merci à ma famille d’avoir fait de moi celle que je suis. De votre soutien et amour sans faille, absolu. J’ai une chance rare de l’avoir et je le mesure.
Et enfin, je ne serai rien sans mon bureau. Vous avez été géniaux. J’ai passée une année fantastique grâce à vous. Vous allez horriblement me manquer.
Simon Dubois, je suis très heureuse que tu aies rejoins le bureau cette année. Tes compétences de publicistes ont été un atout indéniable pour nous. Je sais que tu te destines à d’autres aventures mais que tu ne seras jamais bien loin. J’espère que tu t’en vas pour mieux revenir.
Hadrien, cela été un soulagement d’avoir un geek au bureau ! Ta présence a été infiniment précieuse pour notre communication. Tu sais que faire savoir ce que l’on fait est presque aussi essentiel que notre savoir-faire. Alors merci.
Boris, ton énergie et ta bonne humeur perpétuelle est épuisante mais c’est de cela dont nous avons besoin à la FNUJA. J’espère que tu feras le chemin jusqu’au bout.
Caroline, merci d’avoir toujours dit oui, avec le sourire, à toutes les missions improbables que j’ai pu te confier, qu’il s’agisse de de la gestion des nombreuses formations ou de m’aider à préparer une audition au Sénat. On peut toujours compter sur toi, sur ton soutien, sur ton amitié. Merci infiniment de ta fiabilité et de répondre toujours présente.
Ange Aurore, ma trésorière chérie, pour moi tu es la révélation de l’année. Je te connaissais différemment avant le bureau. Je suis totalement fan de toi, de la finesse de tes analyses toujours percutantes. Tu as été une force pour moi cette année. Mille mercis !
Simon W, avocat, musicien, animateur radio, militant au service de la profession. Je suis toujours aussi impressionnée par tout ce que tu sais faire. La fédé aura bien besoin d’un couteaux suisse !
Catheline, toujours aussi impressionnante d’intelligence, e suis contente que le guide l’installation soit enfin publié et diffusé aux UJA à l’occasion de ce congrès. Ce travail colossal gagne à être connu. Tu seras très vraisemblablement élue Première vice-présidente de notre syndicat ce week-end. Ce qui signifie tu en seras très certainement la Présidente dans un an. La question que je me pose c’est comment la fédé fera sans toi après tout cela! Tu as été indispensable cette année. Et la fédé a de la chance de te garder encore un peu.
Jean-Baptiste,
Tu as été un véritable bras droit cette année. C’est un luxe formidable et je mesure ma chance. Nous nous ressemblons beaucoup, mine de rien.
Je suis heureuse de te voir prendre la suite. Je sais que la fédé sera entre de bonnes mains car toi et moi nous aimons passionnément la fédé.
Et selon moi c’est tout ce qu’il faut pour faire un Président parfait !
Les amis, vous allez me manquer mais je ne serais pas bien loin.
Je délaisserai bien volontiers les commissions de travail pour les activités plus conviviales.
Comme le veux notre curieuse tradition, je passerai de temps en temps me faire applaudir en comité et je répondrai toujours présente si vous avez besoin de quoi que ce soit.
Merci les Jeunes avocats pour la belle rencontre que vous avez été et que vous resterez.
Bon vent à la FNUJA !
Vive la FNUJA !
Discours d'Aminata NIAKATE - Séance solennelle d’ouverture du 76ème congrès de la FNUJA à ParisMercredi 26 Juin 2019
Discours de fin de Présidence prononcé par Aminata NIAKATE le 30 mai 2019 lors de la séance solennelle d’ouverture du 76ème congrès de la FNUJA à Paris |
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