Lors de son intervention, Jean Michel Darrois a rappelé la difficulté de la mission confiée à la commission qu’il préside.
Cette difficulté est liée aux avis divergents des différentes concernées entre elles, mais également aux divisions internes des professions. C’est pour ces raisons qu’il a fait le choix de ne pas intégrer de représentants des différentes professions concernées au sein de sa commission.
En contrepartie, la commission procède à un grand nombre d’auditions. Ces auditions révèlent des positions très divergentes.
Sans naturellement aborder les travaux de la commission sur le fond, compte tenu de la nécessaire confidentialité qui y attachée avant la remise de ses conclusions, Jean-Michel Darrois a exposé le constat actuel de l’éclatement des professions juridiques et de la difficulté à envisager un rapprochement.
Il a également mis en garde la profession d’avocat contre une tendance qu’elle a parfois et qui consiste à utiliser nos principes déontologiques pour refuser les évolutions positives.
Notre profession doit démontrer qu’elle rend un meilleur service, plus rapide, plus efficace, pour rattraper son retard pris dans certains domaines par rapport à d’autres professions.
Cette difficulté est liée aux avis divergents des différentes concernées entre elles, mais également aux divisions internes des professions. C’est pour ces raisons qu’il a fait le choix de ne pas intégrer de représentants des différentes professions concernées au sein de sa commission.
En contrepartie, la commission procède à un grand nombre d’auditions. Ces auditions révèlent des positions très divergentes.
Sans naturellement aborder les travaux de la commission sur le fond, compte tenu de la nécessaire confidentialité qui y attachée avant la remise de ses conclusions, Jean-Michel Darrois a exposé le constat actuel de l’éclatement des professions juridiques et de la difficulté à envisager un rapprochement.
Il a également mis en garde la profession d’avocat contre une tendance qu’elle a parfois et qui consiste à utiliser nos principes déontologiques pour refuser les évolutions positives.
Notre profession doit démontrer qu’elle rend un meilleur service, plus rapide, plus efficace, pour rattraper son retard pris dans certains domaines par rapport à d’autres professions.