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blog législatif

 

 

De plus en plus spécialisés, les avocats sont les hommes de loi qui conseillent, représentent et défendent les causes d’un particulier, d’une entreprise ou d’une collectivité devant les tribunaux. Combien gagne donc un avocat en moyenne ? On le découvre ici.

Quelle est la différence entre salaire brut et salaire net ?

Avant de parler du montant moyen que gagnent les avocats, il est important de faire la différence entre salaire brut et salaire net. Le premier représente la somme totale dépourvue de taxes que gagne un travailleur. Par opposition, le salaire net désigne le montant qui lui revient une fois que ses charges et impôts ont été prélevés de son revenu. Pour avoir une idée claire de votre revenu net, vous pouvez utiliser verilor  pour convertir votre salaire brut en salaire net.

Quel est le salaire moyen des avocats ?

Comme il a été dit plus tôt, le salaire d’un avocat varie selon son grade. Mais il peut aussi varier en fonction de son cabinet et de son secteur d’activité. En début de carrière, les avocats gagnent généralement un salaire mensuel brut compris entre 1 800 et 2 700 euros.

Une fois qu’ils ont acquis une certaine notoriété et une certaine expérience, leur salaire brut peut aller jusqu’à 12 000 euros par mois, voire plus. Les avocats toutes catégories confondues gagnent donc généralement entre 1 800 et 12 000 euros par mois, soit un salaire mensuel brut d’environ 7000 euros.

Quel est le salaire mensuel brut moyen des avocats selon leur cabinet ?

Dans un cabinet français, les avocats gagnent 9 375 euros. Quant aux cabinets d’origine américaine et anglaise, les avocats gagnent respectivement 20 417 et 17 917 euros. Par ailleurs, les avocats travaillant dans un cabinet lié à un réseau d’audit sont à 5 000 euros.

Quel est le salaire mensuel brut moyen des avocats selon leur secteur d’activité ?

Un avocat qui travaille en droit de l’environnement gagne 5 834 euros, tandis qu’en droit des sociétés, il gagne environ 8 250 euros. Bien entendu, il peut y avoir des variations en fonction des affaires que le professionnel traite.


Rédigé par Martin Dubois le Samedi 16 Janvier 2021 à 11:48 | Commentaires (0)

 

 

En tant que conducteur d’un VAE, vous occupez une place à part entière sur la voie publique. C’est d’ailleurs pour cette raison que le Code de la route vous considère comme usagers de la route, tout comme les automobilistes, les camions et les piétons. En cas d’accident, votre responsabilité peut être recherchée. Retrouvez ci-dessous des informations utiles sur le sujet.

Que faire en cas d’accrochage avec un autre cycliste ou un piéton ?

Dans le but de simplifier leur déplacement en ville, de plus en plus de personnes investissent dans les VAE. Si vous voulez, vous pouvez par exemple acheter le vélo électrique pliable Velobecane  qui est aujourd’hui largement plébiscité pour son excellent rapport qualité/prix. Retenez toutefois que vous devez prendre certaines mesures pour éviter les ennuis et profitez au maximum de votre achat.

En effet, lorsqu’on roule à vélo, il arrive parfois de heurter un autre usager de la route. Dans ce cas, le premier réflexe est de faire une inspection pour évaluer les dégâts. En fonction du résultat, il peut être nécessaire d’appeler les services de secours ou la police. Si les dégâts sont uniquement matériels, la loi recommande de remplir un constat d’accident avec l’autre usager de la route.

Que faire en cas d’accident avec un scooter ou une voiture ?

D’après les dispositions du Code de la route, les cyclistes ne sont pas obligés de souscrire une assurance responsabilité civile. Cependant, il est fortement recommandé de disposer de cette protection. En effet, elle permet de vous couvrir en cas d’accrochage avec un autre usager de la route. Si vous êtes responsables de l’accident, votre assureur interviendra pour réparer les dégâts que vous avez causés à un autre usager. Si vous ne disposez pas d’un contrat d’assurance responsabilité civile, vous devrez prendre en charge l’indemnisation des dommages.

En France, les cyclistes jouissent d’une protection particulière en cas de collision avec un véhicule motorisé. Depuis 1985, le texte de loi Badinter prévoit qu’il revient à l’assureur de l’automobiliste de dédommager toute victime d’un accident de la circulation dans lequel est impliqué un véhicule terrestre à moteur. Précisons toutefois que cette protection est soumise à des conditions !


Rédigé par Martin Dubois le Mardi 12 Janvier 2021 à 17:09 | Commentaires (1)